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Salon de thé de feu Henry-IV

25 juillet 2010

tadaaam!

fille_tadaaam

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9 juillet 2010

foukmifoukyou

hmm

9 juillet 2010

Docs Kennedy - Henri IV

Chemise de Kennedy
shirt_kennedy

Assassinat Henri IV
assassinat_1
assassinat_2
assassinat_4

Assassinat Kennedy
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jfkenvoiture_4
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and the result
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Ravaillac et Oswald
ravaillac_2
oswald

9 juillet 2010

Videos docs

Film de l'assassinat de Kennedy (avec jeux de ralentis, d'agrandissements)

Film de la mort de Lee Harvey Oswald (Kennedy'killa)

Film2 de la mort de Lee Harvey Oswald (Bonus + presentation de l'arme)

9 juillet 2010

Descriptif de l'assassinat d'HENRI IV

Le poignard régicide a été saisi sur Ravaillac par le plus vieux et le plus fidèle compagnon huguenot du roi, Jacques Nompar de Caumont, premier Duc de La Force qui, étant ce vendredi 14 Mai 1610 aux côtés d’Henri IV dans le fatal carrosse, fut un des témoins directs du crime. Les récits des mémorialistes sont nombreux et concordent sur la plupart des points. Henri IV, en outre, n’est pas insensible aux présages. De longue date, les astrologues l’ont engagé à se méfier du mois de Mai et, en ce mois, à se tenir sur ses gardes au sujet d’un carrosse et d’un couteau.
Mais en ce 14 Mai 1610, au dépit de ses hésitations, il se décide finalement à sortir. Vitry, capitaine des gardes en quartier, essaie de s’y opposer : si le roi doit sortir, il est de sa charge de l’accompagner. Il lui représente que Paris est en ce moment plein d’étrangers et d’inconnus : « Allez, lui répond le Roi, faites ce que je vous dis. Il y a cinquante et tant d’années que je me garde sans capitaine des gardes; je me garderai bien encore tout seul. Je veux parler à Monsieur de Sully sinon je ne dormirai pas tranquillement » .
Il sort dans la cour du Louvre par un petit escalier à vis qui débouche à l’angle des ailes ouest et sud. Là, il écarte encore Praslin, autre capitaine des gardes qui voulait l’accompagner et monter dans le carrosse qui attend tout attelé. Dans la lourde voiture carrée, il s’assied à gauche sur la banquette du fond. Montent avec lui ceux qu’il a invités en chemin. Le duc d’Epernon est assis au fond à sa droite. Les portières rabattues offrent chacune deux places le dos à la rue : Lavardin et Roquelaure sont à la portière du Duc, Montbazon et La Force à celle du roi. Sur la banquette de devant, face au Roi, sont assis Liancourt, le premier écuyer, et Mirebeau. Il est alors quatre heures de l’après-midi à un quart d’heure près. Quelques gentilshommes à cheval accompagnent la voiture royale ainsi que des valets de pied qui courent aux portières car l’allure est lente. Nous sommes rue Saint-Honoré et, dans le prolongement , se situe la rue de la Ferronnerie rendue étroite par les échoppes qu’on a laissé bâtir le long des maisons proches du cimetière des Saints Innocents, en outre, le grand marché des Halles, implanté là depuis Louis VI le Gros, explique les engorgements. Dans ces conditions, l’escorte ne peut rester aux portières du carrosse. Certains valets ont couru en tête pour faire dégager une charrette de foin et une autre de tonneaux de vin qui gênent le passage. C’est alors qu’un homme s’approche de la portière: un colosse à la mine farouche, de posture puissante, la barbe roux foncé, les cheveux dorés, les yeux mélancoliques assez profondément enfoncés dans les orbites. Il porte un habit vert à la flamande.
Il court après le Roi depuis le matin. Quand le carosse est sorti de la cour du Louvre, il a déjà pensé agir dès le passage sous la voûte mais c’est le Duc d’Epernon qui occupait la place où il pensait trouver le Roi et depuis, il court silencieusement derrière.
Cette fois, le carrosse est immobile : l’occasion est bonne. Il pose le pied sur un des rayons de la roue arrière droite, l’autre sur une borne et surgit dans l’ouverture de la portière sans qu’on ait pris garde à lui. Il a sur lui un couteau, une longue lame quadrangulaire et très effilée emmanchée à l’origine dans de l’ébène mais qu’il a remplacé par une corne de cerf. Il a dérobé cette superbe dague de vénerie dans une trousse comportant deux autres couteaux et un poinçon, à un anglais Sir John Ramsay, comme celui-ci se trouvait dans une auberge de la rue Sainte-Honoré proche de l’hôpital des Quinze-Vingts. La lame de l’arme qui allait coûter la vie au monarque mesure vingt-cinq centimètres.
Ravaillac tire son couteau et, de sa main gauche, ce qui ne le gène pas beaucoup car il est ambidextre, il atteint le Roi d’un premier coup entre la deuxième et la troisième vertèbre, près de l’aisselle. Ce coup a d’abord transpercé la manche du pourpoint, le pourpoint lui-même et la chemise. La douleur fait automatiquement relever le bras gauche au roi qu’il avait posé sur l’épaule du duc de Montbazon. Ravaillac frappe à nouveau, mais plus bas et plus profondément. La lame pénètre toute entière entre la cinquième et la sixième côte. Les dégats sont terribles : elle traverse le poumon gauche, tranche la veine cave, l’artère pulmonaire et pour finir, crève l’aorte. Un troisième coup perce seulement la mouche de Montbazon. Après le deuxième coup, Montbazon qui, pas plus que les autres d’ailleurs, n’a compris, demande au Roi : « Qu’est-ce Sire ? » « Ce n’est rien » répond Henri IV, une première fois clairement, une seconde fois très bas. Mais un flot de sang franchit ses lèvres. La Force, le seul huguenot du groupe, a compris le premier et lui crie, comme une extrême-onction : « Ah Sire, souvenez-vous de Dieu ». Ravaillac est resté sur la roue, un peu hébété, le couteau sanglant encore à la main. On se jette sur lui, on lui arrache son arme et Saint-Michel, gentilhomme ordinaire de la chambre veut le transpercer de son épée. Le duc d’Epernon s’interpose : « Ne frappez pas, il y va de votre tête ».
La Force, resté seul dans le carosse, jette son manteau sur le roi et invite Curson à monter avec lui pour soutenir le corps. Arrivé au Louvre, on étendit Henri IV sur un lit dans le petit caibnet de la Reine. Le docteur Petit parle au moribond qui ouvre trois fois les yeux et les referme. C’est fini.

Le poignard qui venait de tuer Henri IV n’en était pas, si l’on peut dire, à son coup d’essai. Comme nous l’avons déjà dit, il faisait partie d’une trousse de vénerie fabriquée en l’an 1600. Cette trousse comporte la grande dague de vénerie à quatre arêtes dont le profil de la lame est éminemment apte à servir le grand gibier, son fourreau et deux bâtardeaux, c’est à dire des couteaux plus petits à lame de forme classique, sans étui, et destinés a la préparation du gibier. L’ensemble est complété par un poinçon. Toutefois, ces trois couteaux sont traités luxueusement dans un élégant style Renaissance et sont décorés par un travail de ciselure hors du commun. Leurs lames, gravées et dorées, sont incrustées de la lettre H en cuivre car John Ramsey était Vicomte de Haddington et pair d’Angleterre. Toutes les trois portent, gravée, une devise identique en latin : haec dextera vindex principis et patria; en français : cette main venge le prince et la patrie. Les lames portent aussi des armoiries : à sinistre, un aigle à deux têtes, à dextre, une main tenant une épée haute traversant une couronne à la pointe.
La pièce maîtresse de cette trousse, avant de tuer Henri IV, avait déjà occis trois homme en Angleterre.
Les faits prennent place en mai 1600 dans la maison Gowrie des Ruthven dans le Conté de Perth en Ecosse. Jacques VI d’Ecosse qui deviendra roi d’Angleterre sous le nom de Jacques premier était débiteur d’une grosse somme au bénéfice de la famille Gowrie. Malgré de nombreuses relances, cette famille n’obtenait pas le remboursement de la somme. Excédés, trois de ses membres complotèrent d’enlever le souverain et d’obtenir pour sa libération une rançon égale à la somme due. Le secret du complot s’ébruita et fut déformé : on crut que le père et les deux fils cherchaient à tuer le roi. Se voulant le défenseur du Prince et de l’Ecosse, le jeune John Ramsey dépêcha de sa main les trois comploteurs imprudents avant même qu’ils ne puissent passer à l’acte de séquestration. En remerciement, Ramsey fut élevé à la dignité de chevalier et reçut le titre de Lord. Les armes, elles aussi, furent mises à l’honneur et gravées à cette occasion, puisque leurs gravures font allusion au geste héroïque, bien qu’un peu hâtif, de John Ramsey.
En cas de régicide, l’arme du crime était toujours détruite le jour de l’exécution du meurtrier. Or, les mémorialistes disent tant que : « le bourreau a présenté le poignard à la foule mais en a jeté un autre dans le bûcher ». Le véritable fut laissé au plus vieux et plus fidèle compagnon huguenot du Béarnais. Il est toujours dans la famille des Ducs de La Force qui le conserve précieusement à Genève dans sa trousse.

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9 juillet 2010

Docs

Le carosse
carosse_1b
carosse_2b

Masque mortuaire d'Henri IV
masque_2
masque_3b

Ravaillac (aka-the killa)
Ravaillac_3

Rue de la Ferronnerie (tha'dead zone)
r_ferronerie_1b

Epernon
Epernon
Duc de la Force (respect)
duc2la_force_2b

7 juillet 2010

looool

comme elle est trop belle cette photo !!! c est qui qui t as pris ??

nan en faite balek, po...

bon voila mes 2 images, que je vais peut etre retoucher, mais je pense pas pouvoir en faire plus..

recherches01__2__2_applati_copie

persos_applati_copie

au revoir sur le boulevard rachechoir

7 juillet 2010

P&L

benIV

6 juillet 2010

rahh

H

5 juillet 2010

hello les blaireau

Alors petit remaniage dans la presentation, a votre droite  3 catégories

DOC, dans laquelle vous posterez ou consuilterez les documents d inspiration

PROD, dans laquelle vous posterez vos images et video

FORUM, dans lequelle vous pourrez raconter votre vie, vos emotions du moments, ce que vous aimez ou n'aimez pas...

voili voilou dans le trou de mamadou

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Salon de thé de feu Henry-IV
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